Avec la crise des réfugiés syriens, les Etats membres de l’UE vont être amenés à définir le type de frontières qui doit délimiter l’espace européen de libre circulation. Point de vue du Directeur du Service Jésuite des réfugiés.
Entourée d'un arc d'instabilité, l'Union européenne est actuellement occupée à réformer sa politique de voisinage. Quelle direction devrait-elle prendre ?
L’Europe à la croisée des chemins : une ouverture illusoire ou véritable pour venir en aide aux millions de migrants et de réfugiés à la recherche d’une alternative au désespoir ?
La frontière n’est pas seulement la ligne, souvent arbitraire, qui délimite un territoire où nous serions souverains ; la frontière est aussi le lieu d’un entre-deux, d’une interaction, d’une rencontre.
Le quatrième Sommet du Partenariat oriental organisé à Riga n'a pas cherché à faire des annonces ambitieuses mais plutôt à trouver un compromis dans un environnement très diversifié.
Quelques mois avant l'adoption prévue du programme de développement durable pour l'après-2015 aux Nations Unies, l'importance d'un travail décent pour le développement durable a été mise en évidence lors d'un débat à haut niveau au Parlement européen.
Les objectifs essentiels de la nouvelle Commission, en particulier la croissance et l'emploi, déterminent largement son programme de travail en matière de migration.
La traite des êtres humains est un phénomène semi-invisible, aux multiples facettes, dont la réduction nécessite des actions communes de la part des organismes politiques, sociaux et religieux.
L’Union européenne et ses États membres doivent enfin prendre au sérieux leur responsabilité juridique et morale et ouvrir aux personnes en détresse des voies sûres et légales pour bénéficier d’une protection en Europe.
